J’ai une double formation académique en Psychologie (Master II de Psychologie Clinique de l’Université de Nantes) et en Paléontologie (Doctorat au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris).
En plus de mon activité en libéral, j’ai exercé durant plusieurs années en tant que Psychologue Clinicienne dans le secteur social associatif et comme enseignante vacataire à la Faculté de Psychologie de l’Université de Nantes. J’ai également de l’expérience dans la prise en charge de la personne âgée dépendante, des adolescents dits « difficiles », des douloureux chroniques, dans les domaines de la prévention de la délinquance, de la gérontopsychiatrie et l’ethnopsychiatrie.
Mon parcours
Comme beaucoup de personnes hypersensibles j’ai eu un parcours de vie difficile, qui m’a très tôt confronté à la question de la souffrance, du sens de la vie et de ma place dans ce monde. J’ai cherché des réponses tout d’abord dans les sciences, sécurisée par son approche matérialiste et rationnelle des origines, jusqu’à l’obtention d’un doctorat en Paléontologie. Puis des expériences personnelles puissantes, à la limite du psychique et du spirituel, m’ont poussé à étudier le psychisme et les phénomènes de guérison du point de vue des sciences, de la pratique chamanique et spirite et à travers l’étude approfondie de l’approche psychanalytique de Carl Gustav Jung. Je me suis également intéressée à la dimension énergétique du vivant et à la façon d’aider le corps et le psychisme à restaurer leur équilibre à travers, entre autres, la réflexologie plantaire.
Malgré l’expérimentation et l’assimilation de nombreuses pratiques thérapeutiques et spirituelles, je devais me rendre à l’évidence que, mise à part un soulagement temporaire, une anesthésie pour rendre l’existence supportable ou la fuite dans un bonheur aussi illusoire que fragile, aucune n’était capable d’apporter une véritable libération des souffrances. Toutes les approches semblaient converger vers l’idée que le mal qui accable l’humanité est inévitable car inhérent à sa nature. Voire même que la souffrance qui en découle est un facteur de « bonification » pour une espèce humaine intrinsèquement mauvaise, fautive et archaïque. L’assimilation du mal à la nature humaine rendait toute idée de libération impossible, car ce serait nier l’humanité et le dessein « juste » de son Créateur « parfait ». Il était impossible de comprendre et résoudre une équation aussi incohérente et paradoxale, digne d’un pervers narcissique !
Cette vision incohérente du mal a volé en éclats après la rencontre de Mme Duran et la technique qu’elle a créé : la MLTC. Contrairement à tout ce que j’avais pu entendre jusqu’alors, elle m’avait expliqué que le mal n’était pas inhérent à l’humain ni n’avait de rapport avec notre Source véritable ; que notre harmonie et perfection originelles avaient été dévoyées par des énergies négatives provenant d’autres sources ; et que, combien même ces énergies exogènes manipulaient et dominaient l’humanité depuis la nuit des temps, il était possible de se libérer de leur emprise. Mais, pour cela, il fallait « choisir son camp ». J’avais le choix de continuer à servir inconsciemment ces énergies parasitiques et manipulatrices ou bien de lutter consciemment contre elles pour retrouver ma liberté et mon intégrité. J’ai fait le choix de servir mon être véritable en empruntant et en partageant, en tant que thérapeute, une voie de guérison simple, cohérente et efficace. Cette voie thérapeutique novatrice, associant soin MLTC et psychothérapie, permet à la conscience de se confronter et de se libérer définitivement des énergies négatives à l’origine des souffrances qu’elles soient psychiques ou corporelles.